Je suis fâchée contre moi-même. J’ai l’habitude de vérifier tous les renseignements qu’on m’envoie par courriel pour me transmettre une injustice, un conseil médical ou autre utilité, mais hier je ne l’ai pas fait, estimant que la personne qui m’avait transmis quelque chose à faire suivre le tenait de sources sûres. Or, ce n’est pas le cas.
Je ne divulguerai pas ici le contenu de la rumeur, là n’est pas mon intention. Mais je me demande à quoi cela peut servir de travestir l’information, de les inventer de A à Z dans certains cas, si ce n’est que pour nuire à la réputation de quelqu’un. Ou alors de tester jusqu’à quel point une information même bidon fera le tour du monde.
S’il faut absolument tester les possibilités du net, pourquoi ne pas alors plutôt transmettre une bonne nouvelle qui fera sourire tous ceux qui la liront ?
Je m’en veux. Je fais partie de ceux et celles qui ont propagé cette fausse information. J’ai rectifié le tir (éclairée par Patricia), mais peut-être que ce que j’ai diffusé hier soir a-t-il déjà été envoyé à d’autres et que certains ne se donneront pas la peine de faire suivre mon rectificatif. Oui, je m’en veux.