Vous prendrez bien un peu de rose?
Moi oui! Rendez-vous à Genève, il paraît qu’il se cache par là. Et il semblerait aussi que Denise sait exactement où. Nous n’aurons qu’à la suivre. Qui vient?
Moi oui! Rendez-vous à Genève, il paraît qu’il se cache par là. Et il semblerait aussi que Denise sait exactement où. Nous n’aurons qu’à la suivre. Qui vient?
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« Le lac » n’est pas un roman, mais un poème.
Et le lac dont il est question n’est pas le lac Leman, comme beaucoup semblent le croire, mais le lac du Bourget, en Savoie. C’est là, à Aix-les-Bains plus précisément, que Lamartine, convalescent, rencontra Julie Charles, une jeune femme mariée qui allait mourir l’année suivante de phtisie et qui deviendrait l’Elvire du « Lac ».
Comment by Lali — 31 mars 2008 @ 15:43
Poème dont le premier titre fut : Le Lac de B***
« La plainte de Lamartine est une prise de possession pour l’éternité de ce coin de Savoie. » écrit Gustave Lanson !
Comment by Reine — 31 mars 2008 @ 18:02
Et c’est ainsi que nous commençons à voir la vie en rose !
Comment by Reine — 31 mars 2008 @ 18:03
C’est quoi une ville globale?… Est-ce une ville multiculturelle, comme Paris, Bruxelles, Montréal, Londres, Barcelone, Lisbonne, Munich, New York, Rome, Athènes, Prague et probablement Rio de Janeiro?…
Pour la Martine, je ne connais pas grand-chose aux filles… Et tant pis pour la vie en rose.
Comment by Zef — 1 avril 2008 @ 5:48
Alphonse de Lamartine
« Un jeune noble
Alphonse-Marie-Louis de Lamartine est né à Mâcon le 21 octobre 1790, de Alix des Roys et Pierre de Lamartine tous deux aristocrates et très croyants. Il eut six sœurs cadettes.
A partir de 1797, à Milly, il vit sur les terres familiales, au contact des paysans employés aux vignobles. En 1801 il intègre la pension Puppier, à Lyon, d’où il fait une fugue en 1802. De 1803 à 1807, il réussi brillamment ses études chez les Pères de la Foi à Belley (Ain).
Sa famille refusant de servir Napoléon, il mène alors une vie oisive. Chez ses cousins, à Naples de décembre 1811 à avril 1812, il vit un grand amour avec Antoniella Jacomino qui sera la « Graziella » dans ses oeuvres futures.
Alphonse de Lamartine devient Maire de Milly en 1812, grâce à l’aide se son père et écrit la tragédie Médée en 1813.La Restauration permet à son père de lui obtenir une place dans les Gardes du Corps de Louis XVIII, poste qu’il doit quitter, lors des Cents-Jours, pour se réfugier en Suisse puis dans les Savoies.
En 1816, il sauve une jeune femme créole, Julie Charles, d’un naufrage sur le lac du Bourget (Aix, Savoie). Ils vivent un amour passionné fait de rencontres furtives. Alphonse fréquent le salon de Julie à Paris. A l’été 1817, il se rend à Aix, où, attendant en vain sa bien aimée, il écrit Le Lac.
…
O lac! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir!
…
Malheureusement, Julie décède de phtisie en décembre 1817. Cet amour fait grandir sa vocation d’auteur et sera la source des Méditations poétiques. »
Comment by Denise — 3 avril 2008 @ 16:00