Près de la fenêtre
Et telle la lectrice de Marguerite Stuber Pearson, je m’installerais là, devant la fenête, allant des pages du livre aux flocons qui dansent dans le ciel. Oui, si ça m’était possible, si la vie ne m’appelait pas ailleurs, là où mon bureau est couvert de textes à réviser, là où d’autres vont arriver en cours de journée.
Heureusement, il y a deux fenêtres dans mon bureau. Je pourrai donc de temps en temps lever les yeux de mes papiers et regarder la neige tomber.
Je vous lis souvent, je trouve cette peinture particulièrement belle. il se dégage une impression de calme et de bien être. A bientôt.
Comment by Marc — 14 février 2007 @ 15:11
Mon regard s’est arrêté un peu plus longtemps sur cette lectrice bien que cette lumière et la robe blanche donne une impression d’extrême fraicheur… j’ai apprécié l’applat rouge carminé des rideaux et du jeté de table; il m’est venu l’envie de reprendre les pinceaux…
Comment by caroline_8 — 16 février 2007 @ 0:30