Un peu de romantisme 2
Alors il y eut un silence. Ils se regardèrent; et leurs pensées, confondues dans la même angoisse, s’étreignaient étroitement, comme deux poitrines palpitantes. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Nina Mikhailenko
Alors il y eut un silence. Ils se regardèrent; et leurs pensées, confondues dans la même angoisse, s’étreignaient étroitement, comme deux poitrines palpitantes. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Nina Mikhailenko
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La lectrice à l’air absorbé par cette belle citation…
Délicieuse toile !
Comment by Denise — 12 juillet 2009 @ 10:32
C’est vrai… La lectrice a l’air. D’ailleurs si elle n’avait plus d’air, elle serait une lectrice inanimée… (oh mon Dieu, faut que je lui fasse vite du bouche à bouche… pauvre petite)
Comment by Armando — 12 juillet 2009 @ 10:58