Oh! Zambujo!
C’est par ce billet que j’ai découvert Antonio Zambujo, ce qui m’a donné envie de vous offrir un extrait récemment. Et c’est par cet autre billet que j’ai appris que l’artiste, originaire de l’Alentejo, venait de lancer un nouvel album. Celui-ci, ayant pour titre Guia, est une merveille. Rien de moins. Si bien que je l’écoute en boucle au bureau, même si cet album — très, très sensuel — s’écouterait mieux à deux…
Pour vous tenter, une de mes préférées, Quase um fado :
Ah fado quand tu nous tiens. Je me blottirais bien dans les bras de mon Homme en dansant sur cet air…
Comment by LOU — 22 juillet 2010 @ 14:37
Et sur la toile j’ai trouvé les paroles. A traduire, à deviner, à ressentir… :
Quase um fado (Rodrigo Maranhão)
Trago no peito segredos, amores confessos, ocultos desejos
O tempo apressado o beijo partido,
Inteiro aos pedaços da vida, eu duvido
Trago no peito um segredo dos mares que desafio,
Trago no peito meu mundo, fagulha, centelha, amor vagabundo
Que bate calado o seu bate-fundo,
E sempre navega pró mesmo lugar
Trago no peito o segredo dos mares por navegar.
Comment by LOU — 22 juillet 2010 @ 14:41
Lali, comme je comprends que tu l’écoutes en boucle… C’est tellement beau!
Merci pour cette superbe écoute.
Comment by Denise — 22 juillet 2010 @ 15:48
Ah si Armando était là il pourrait nous traduire cela. Lou serait si heureuse…
Je crois savoir que Dominique aussi adore ce garçon. Zambujo. Pas Armando. Vous m’aviez compris.
Comment by Pépé de Bruxelles — 22 juillet 2010 @ 17:18
Que du bonheur à écouter en boucle ce fado… la preuve, Lali j’y reviens pour la x ème fois. Et Domi me fait dire, qu’il a beaucoup apprécié!
Merci Lali, encore une belle découverte!
Pépé de Bruxelles… Si Armando pouvait nous traduire les paroles, cela serait généreux de sa part 🙂
Comment by Chantal — 24 juillet 2010 @ 14:28
Chantal
Je crois que le « x » de ta phrase a distrait Armando… à en juger par son sourire.
Comment by Pépé de Bruxelles — 24 juillet 2010 @ 23:58