Nous ne connaissons 4
L’usure des mots ordinaires
et
l’amour
cette déchirure qui donne enfin
un visage à la mort
il faut le lire
certains mythes essentiels ne survivent pas
à l’usure des mots ordinaires
Jacques Poirier, Nous ne connaissons la mort que de nom
*choix de la lectrice de Fernand Siméon