Mon livre de chevet 1
C’est en se promenant dans les pages de Lali que la lectrice peinte par William Henry Hunt a eu connaissance de quelques extraits du Gardeur de troupeaux de Fernando Pessoa (extrait 1, extrait 2, extrait 3), ce qui lui a donné l’idée d’ouvrir elle aussi ce recueil qui ne quitte pas ma table de chevet depuis août 2007.
C’est donc ce livre que parcourront les lectrices du soir ces prochains jours et duquel celle de ce soir a tiré ces mots :
Je regarde et je m’émeus.
Je m’émeus ainsi que l’eau coule lorsque le sol est en pente.
Et ma poésie est naturelle comme le lever du vent.
Vient-on jamais à bout de la lecture des poèmes de Pessoa? Ses poèmes païens, Son livre de l’intranquillité… toujours à portée de mains. Ce poète me fascine. Pour ma part, je le lis lentement et à petite dose. Pour l’apprécier et en saisir le sens… et je partage sa « saudade » comme l’on dit au Portugal. Ses mots ont un écho en moi…
Comment by Chantal — 28 juillet 2010 @ 5:36
C’est grâce à toi Lali que je reprends souvent en main les poèmes païens de Pessoa. Quel plaisir de les lire et relire.
Merci pour les mots d’aujourd’hui…
Comment by Denise — 28 juillet 2010 @ 8:52
Je lis et je m’émeus…
Comment by Petit Poucet rêveur — 1 août 2010 @ 13:15