Tableaux poétiques 2
Elle n’a même pas pris la peine de s’asseoir. La lectrice de Walter Crane avait trop hâte d’ouvrir Cheveu-de-Vénus de Louise de gonzague Pelletier. Et d’y trouver ceci :
Nous savons trop
avec notre peau
comprendre les mots,
les certitudes.
Fragiles, sens dessus-dessous.
Oh que oui !!!
Comment by chantal — 22 mars 2009 @ 6:12
C’est la sensibilité à fleur de peau !
Comment by Denise — 22 mars 2009 @ 11:45