Les poèmes de Normand 2
Je t’avais attendue
mais jusque-là sans douleur
j’attendais aussi le poème véritable
tu me l’as donné
alors désormais je me tais
je te laisse ma dernière lumière
tu éteindras
tu m’embrasseras en quittant
car tu étais, depuis longtemps,
mon imprévisible douleur
et demain
mon silence malheureux
Normand de Bellefeuille, Un visage pour commencer
*choix de la lectrice d’Alan Ferebee
Une aquarelle comme je les aime..:-))
Comment by Mathilde — 1 octobre 2011 @ 5:59