Les poèmes d’Amaru 4
Autrefois, nous ne formions qu’un corps;
Et puis tu fus l’amant,
Et moi, une amante désespérée;
Maintenant, tu es l’époux,
Je suis l’épouse. Quoi d’autre?
De ma vie misérable, dure comme un diamant,
Voilà le fruit!
Amaru, La Centurie
*choix de la lectrice d’Antonio Bueno
parfait !
Comment by les Caphys — 23 avril 2018 @ 7:47