Les poèmes d’Amaru 2
Sa colère apaisée, elle tint dans ses mains
La lune de son visage
J’avais tout épuisé,
Mon seul refuge était de tomber à ses pieds
Contenues jusqu’alors au-dedans des paupières,
En foule se pressant à la frange des cils,
D’un coup ses larmes dévalèrent
La pente de ses seins, proclamant mon pardon.
Amaru, La Centurie
*choix de la lectrice de Lisa Bormann