Lali

28 novembre 2005

Il n’y a pas d’heure pour le café

Filed under: Petits plaisirs — Lali @ 7:28

cafe

De tous les plaisirs du quotidien, il est en peu que j’apprécie autant que le café du réveil.
Il donne souvent son goût et sa chaleur à la journée. Il faut donc prendre le temps de le déguster, sans précipitation, d’en savourer chaque goutte. Moment privilégié avec soi, amorce de la journée, douceur…
Le plus souvent, je le sirote devant mon écran, comme ce matin. Ça donne l’occasion de le prendre avec les uns et les autres, dépendamment de qui est ligne.
C’est ainsi que le plus souvent, à cause du décalage et du fait que je me lève tôt, je me retrouve en Belgique, au pays d’Ourthe Amblève, en bord de Meuse, à Bruxelles, en pays germanophone, à Villers le Bouillet, ou ailleurs. Je franchis la distance pour partager les nouvelles avec ceux que j’aime, en attendant de pouvoir les retrouver autour d’un café, comme en juillet dernier.

Si j’affectionne autant le premier café du jour, j’aime aussi les autres. Non pas que je passe mes journées à en ingurgiter, sauf si je suis chez moi, tranquille, alors là, oui !!

Mais j’aime celui à deux, ou entre copains, question de refaire le monde à notre manière, chez soi, chez l’autre ou dans un endroit qui nous inspire.
J’aime aussi celui qu’on s’offre par plaisir, parce qu’on a envie, peu importe l’heure.

Dans tous mes souvenirs de partage et d’amitié, il y a des bols et des tasses de café.
Et il en sera toujours ainsi.
Et si je m’offrais un deuxième bol ? Allez, c’est congé aujourd’hui !

Un commentaire »

  1. Tu as raison, le café a pour moi une odeur d’amitié, de Fraternité… de famille.
    Mais plus encore, il me rappelle combien je me sentais bien, combien j’étais heureux quand au lever, chez ma grand-mère, en descandant l’escalier déjà, je sentais cette bonne odeur de café. Puis première tasse bien chaude, servie alors que j’étais assis dans un fauteuil en osier… Elle passait le café dans une grande cruche en gré… elle avait d’ailleurs moulu ce café en grain, déjà quelle saveur. Parfois elle me laissait faire… nous souriions. Fabuleux souvenir que tu me donnes de retrouver ici Lali !
    Merci du fond du coeur !

    Comment by Phil le Québelgeois — 28 juin 2007 @ 11:31

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