Épitaphe 5
Toi
J’ai eu un rêve
Ineffable
Il y avait là
Un ciel limpide
Un pré parfumé
Un son printanier
Un vent caressant
Il y avait là
Tout l’or du monde
Toutes les rares pierreries
Dan ce rêve exquis
Il y avait
Toi.
HUbert Wallot, Épitaphe
*choix de la lectrice de T. V. Kartavenko (à propos duquel on ne trouve rien en dehors de cette toile)