Lali

22 décembre 2019

En vos mots 663

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

Vous n’y échapperez pas! Il était évident qu’à trois jours de Noël, j’allais vous proposer une scène livresque mettant en vedette cette fête.

À vous maintenant de nous concocter un conte de Noël, d’écrire un poème ou même une seule phrase afin de faire vivre cette illustration signée Eve Farb. C’est avec joie que nous lirons les textes déposés dimanche prochain, car rien ne sera validé avant, ce qui vous laisse amplement le temps de laisser parler votre imagination.

D’ici là, bonne semaine et joyeux Noël à tous les envosmotistes et à ceux qui les lisent!

3 commentaires »

  1. Que De Rêvasseries En Fauteuil,
    Fin-Fond Mémoire Doucement S’Effeuillent,
    S’y Promènent Bien Des Êtres Aimés,
    En Vieux Souvenirs Accompagnés !!!
    Pierre

    Comment by 10Douze27 — 22 décembre 2019 @ 8:49

  2. L’ourson avait grandi,
    Mais que diable!
    Il dormait toujours sur le lit,
    Mangeait à table.

    L’ours, même adulte, était content:
    Grâce à son petit compagnon,
    Il restait un ours insouciant,
    Et l’enfant le trouvait mignon.

    L’enfant croissait plus lentement,
    Mais tant pis!
    Il partageait presque tout son temps
    Avec Teddy.

    Le garçon hésitait, perplexe:
    Désirait-il devenir grand?
    Ou au-delà de tout complexe,
    Rester pour toujours un enfant?

    Les deux avaient leurs avantages,
    Mais choisissait-on vraiment
    Quels privilèges de chaque âge
    On cultive pour son agrément?

    Là où ne filtrait aucun doute
    Cependant dans l’évolution,
    C’est qu’il fallait que leurs deux routes
    Prennent la même direction!

    Comment by anémone — 28 décembre 2019 @ 6:18

  3. La vie est un grand mystère
    Souvent douloureux et cruel
    Pour qui n’a pas eu de mère
    Et qui n’a jamais connu Noël

    C’est un air si bien connu
    De Lord Pierpont en circonstance
    Un regard d’enfant perdu
    Qui nous ramène en enfance

    C’est un silence sans mots
    Un feu qui brule de l’intérieur
    Comme un cheval au galop
    Un coup de poing cœur

    La solitude est une sangle
    Qu’on desserre au fil des pages
    Et malgré le Livre de la Jungle
    Méfiez-vous des enfants sages.

    Comment by Armando — 28 décembre 2019 @ 23:51

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