En vos mots 657
Coup de cœur pour cette jolie scène livresque empreinte de douceur, signée Mariquita Jenny Moberley. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de vous l’offrir afin que vous la racontiez en vos mots, comme vous le faites semaine après semaine. Et comme vous l’avez fait pour la sculpture de dimanche dernier que je vous invite d’ailleurs à revoir afin de lire les poèmes qu’elle a inspirés.
Aucun commentaire ne sera validé avant sept jours. Vous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes, que vous participiez pour la première fois ou pour la centième.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!
Et les années s’effacent
Mon enfance c’était hier
Et je garde toujours la trace
De tous ces souvenirs amers
Bien sûr j’ai connu des jeux
Avec d’autres comme moi
On avait l’air si heureux
Et pourtant on ne l’était pas
Nos regards étaient perdus
Dans nos silences sans fin
On se mentait entre nous
Pour apaiser nos chagrins
La câlinerie a ses outrances
Sous le couvert de la nuit
Qu’on porte dans les silence
De nos heures d’insomnie
Le soleil me semblait si timide
Qu’il se levait avec nonchalance
Comme un vieux plein de rides
Qui n’a jamais connu l’enfance
Comment by Armando — 11 novembre 2019 @ 11:51
Ah comme ils sont bénis,
Ces moments qu’on s’accorde,
Entre très bons amis
Quand règne la concorde.
Ce qui nous réunit,
C’est l’amour, la tendresse,
Et aussi l’harmonie
De partager l’ivresse.
Délicates découvertes,
Lectures captivantes,
Dans la nature verte
Et les senteurs de menthe.
Toujours je vibrerai
Au rythme de nos coeurs
Emus mais guillerets,
Nous extasiant en choeur.
Nous apprîmes ensemble
A aimer les distiques,
Tant que mon âme en tremble,
Souvenirs combien magiques!
Comment by anémone — 15 novembre 2019 @ 18:41