Lali

8 septembre 2019

En vos mots 648

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

Il fait si gris ce matin à Montréal qu’il fallait absolument que je vous propose une toile pleine de lumière afin que vous la racontiez en vos mots, comme vous le faites si bien semaine après semaine.

C’est sur ce tableau de l’artiste James Flanagan, où le bleu domine, que mon choix s’est arrêté, en espérant qu’il suscitera nouvelles et poèmes que nous aurons la joie de lire dans une semaine, et pas avant. En effet, aucun texte ne sera validé avant dimanche prochain.

Cela vous laisse donc plus que le temps de lire les poèmes déposés sur la toile de dimanche dernier, de les commenter si vous en avez envie, et d’écrire quelques lignes.

D’ici là, bonne semaine et bon dimanche à tous!

2 commentaires »

  1. Bleu bleu bleu bleu! Vivre en bleu,
    Retenir un ciel sans nuage.
    Bleu bleu bleu bleu! Voir tout en bleu,
    Pour oublier les bleus de l’âme.

    Bleu bleu bleu bleu! Un monde en bleu,
    Comme une caresse qui s’attarde.
    Bleu bleu bleu bleu! Porter du bleu,
    Comme un coeur triste qui se farde.

    Bleu bleu bleu bleu! Comme tes yeux,
    Et comme les miens remplis de larmes.
    Bleu bleu bleu bleu! Que je te veux,
    Toi l’enchanteur jeteur de charme!

    Comment by anemone — 9 septembre 2019 @ 13:19

  2. Et tous ces silences sans tendresse
    Rose-Anna qui n’a jamais eu de cesse
    De vivre entre fatalisme et courage
    Sous un ciel aux couleurs de l’orage.

    C’est un histoire de presque rien
    Des gens qui mêlent leurs destins
    La guerre, un frère, la leucémie
    Et la misère pour tragédie

    De Jean à cette amour inachevé
    Au mariage sans être aimé
    Est-ce notre passé ou bien le destin
    Qu’on lit dans les lignes de nos mains

    C’est une histoire d’il y a longtemps
    Elle ressemble au temps présent
    La misère est au cœur de nos vies
    Comme en quarante à Saint-Henri

    Le silence se souvient des Lacasse
    De Marguerite, Jenny et j’en passe
    Et dire qu’après quatre cents pages
    Le dernier mot était l’orage…

    Comment by Armando — 15 septembre 2019 @ 3:23

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