En vos mots 485
Avez-vous déjà lu sur le toit? Y avez-vous déjà songé? Voici l’occasion de nous raconter tout cela en vos mots, par l’entremise de cette sympathique scène imaginée par l’auteure jeunesse et illustratrice allemande Rotraut Susanne Berner. Et si vous n’aviez jamais imaginé pareille aventure, c’est l’occasion de le faire.
En vos mots, c’est cette catégorie qui n’appartient qu’à vous et que vous animez semaine après semaine grâce à vos poèmes et histoires, qui nous attendrissent et nous font sourire. Et tant que vous serez là pour donner vie aux illustrations, peintures et sculptures que je dépose pour vous, je continuerai de l’alimenter, tant pour les envosmotistes réguliers que ponctuels, de même que pour ceux qui les lisent.
Aucun commentaire ne sera validé avant sept jours. Vous pouvez donc rêver avant de commencer à écrire! D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!
A lire bien assis
Mode d’Emploie Nouveau Matériel,
Trois Lignes Suffisent Pour l’Essentiel,
Deux Bouquins Recommandations,
Surtout ne Pas Mettre dans le Biberon !
Pierre
Comment by 10Douze27 — 24 juillet 2016 @ 10:29
La pleine lune sourit,
A l’aise dans les hauteurs,
Et se riant de ma phobie.
Lors,sans plus aucune peur,
Et passant outre aux craintes
Se bousculant dans ma tête
En m’imposant leur astreinte,
J’ai rejoint sur le faîte,
Un livre en guise de gri-gri,
Mon ami chantre et poète:
Le doux nommé Mistigri.
Comment by Anémone — 24 juillet 2016 @ 15:11
Mon chat vous raconte tout
Comme dans un livre d’histoires
Il faut bien que je vous avoue
Qu’il a écrit ses mémoires
Et cela va de belle griffe
Comme un écrivant mondain
De mon échappée à Ténériffe
Avec la femme de mon copain
Aux doux parfums de mes nuits
Et de mes amours si mal aimées
Jusqu’à mes discrètes orgies
Que je fais semblant d’oublier
Mon chat se prend pour Hemingway
Heureusement il n’en a guère le talent
Et au plus profond de moi je sais
Qu’il ment… il ment… il ment…
Et si vous lisez son bouquin
De grâce n’en parlez à personne
Avec la femme de mon copain
On est simplement allés à Bayonne
Elle me disait qu’après s’être aimés
Elle avait envie de jambon
Alors bon prince je me suis dévoué
Puisque je n’en avais plus à la maison.
Comment by Armando — 29 juillet 2016 @ 6:40