De Léna à Élaine
J’avais tellement aimé la nouvelle de Linda Amyot, intitulée « Léna, dans le miroir », parue en 1998 dans XYZ. La revue de la nouvelle, que c’est avec beaucoup d’émotion que j’ai lu Le jardin d’Amsterdam, qui est en quelque sorte une mise à jour de la nouvelle de départ, même si l’histoire est loin d’être la même, pas plus que les personnages ne sont identiques. Il n’en demeure pas moins que c’est sa propre nouvelle qui a inspiré l’auteure, ce que je trouve particulièrement original.
Ce roman destiné à un public ado au départ touchera quiconque vit son premier amour ou se rappelle le grand amour de sa vie. Il touchera aussi ceux et celles qui croient que l’amitié n’a pas d’âge et qu’elle peut exister entre deux personnes séparées par deux générations.
Il est donc question d’amour et d’amitié. De la vie, aussi. De tous ces sentiments qui nous animent, nous alimentent et nous bousculent.
Mais là s’arrêtera mon résumé. En dire davantage serait trop en dire, et Le jardin d’Amsterdam mérite d’être lu et aimé. C’est un roman inoubliable.