Celle qu’on peint inlassablement
Et il la peint, sans cesse et sans relâche. Et la muse d’Alfredo Roldan se laisse peindre. Elle est son inspiration et son souffle. Comme d’autres l’ont été pour Monet, Matisse ou Renoir.
J’aurais aimé un jour dans ma vie être celle qu’on peint inlassablement. Être celle qui inspire. Avec un livre à la main et le regard qui se détourne pour regarder celui qui me peint. Est-il trop tard pour ça?
Que hermoso blog!. Mensaje de Alfredo Roldán: Estimada Laly; estaré encantado de recibirte en mi estudio si pasas en cualquier ocasión por Madrid
Comment by Mercedes — 12 novembre 2007 @ 13:53