Ce que je vois
Peut-être que j’ai tout faux quand j’imagine Peter Vilhelm Ilsted peignant sa fille en train de lire à différentes périodes de sa vie. Mais ça n’a aucune importance. Les toiles sont là pour qu’on les lise et les interprète à notre manière comme le musicien la partition.
Mais j’aime l’idée de la fillette devenant femme et aimant rester dans la pièce où son père peint, inlassablement. Et c’est cela que je vois, que j’imagine. Et rien d’autre.