Le français est une chance
Et la Journée internationale de la francophonie, créée en 1998, le clame haut et fort!
À nous de faire de même!
Et la Journée internationale de la francophonie, créée en 1998, le clame haut et fort!
À nous de faire de même!
Le comte Karol Lanckoroński, écrivain et grand collectionneur d’art viennois originaire de Pologne, a emmagasiné tant de trésors culturels au cours de sa vie qu’il a fait construire à Vienne un palais qui porte son nom pour les ranger.
En 1881, le peintre Rudolf von Alt a eu l’occasion de peindre sa bibliothèque. Mais l’histoire ne dit pas s’il a eu le temps d’y lire quelques livres.
Et sans elle, le journal d’une adolescente juive à Amsterdam aurait peut-être disparu au milieu d’autres papiers laissés derrière au moment d’une rafle qui allait mener dans des camps ceux et celles qu’elle avait cachés avec la complicité de Victor Kugler (qui s’est par la suite établi au Canada) et Johannes Kleimann.
Elle s’appelait Miep Gies, celle qui vient de mourir à 100 ans et qui raconte dans Elle s’appelait Anne Frank « son » Anne. Un livre émouvant que j’avais lu au moment de sa publication en 1987 et que je vous invite à lire si vous ne le connaissez pas. Un livre dont la préface de l’auteure se termine par ces mots :
« Mon histoire est celle de gens ordinaires en des temps qui furent extraordinairement durs. Des temps qui, je l’espère du fond de mon cœur, ne reviendront jamais plus. C’est à nous tous, gens ordinaires de par le monde entier, d’y veiller. »
Peut-être que là où la lectrice peinte par Agate elle voit le stade olympique ou comme moi, alors que j’arrive au bureau, les pyramides olympiques qui abritaient les athlètes et qui ont, depuis, été transformées en tours d’habitation. Et peut-être même aimerait-elle en savoir plus sur les jeux olympiques d’été de 1976 qui débutaient il y a exactement 33 ans? Nul doute qu’elle trouvera là de quoi la satisfaire!
Les lecteurs peints par l’artiste québécois Mark Laguë, installés sur la pelouse du campus de l’Université McGill n’étaient pas nés il y a 41 ans, ce 28 avril 1967, jour d’inauguration de l’Expo 67 qui allait donner à Montréal une ouverture sur le monde.
Mais ils pourront tout découvrir sur l’exposition universelle sous le thème Terre des hommes (emprunté à Saint-Exupéry) en épluchant les archives de Radio-Canada, comme vous pourrez aussi le faire en allant ici. Bonne visite!
C’est un jour important que celui d’aujourd’hui, un jour dont vous pourrez lire l’histoire en cliquant ici, un jour qui réunit tous les gens du livre et les lecteurs afin de souligner l’apport des écrivains à notre société, à l’Histoire, à notre quotidien, par les livres qu’ils laissent derrière eux comme autant de morceaux de nous-mêmes comme d’eux-mêmes et sans lesquels je ne pourrais tout simplement pas vivre.
En ce jour, vive le livre! Et chapeau à ceux qui les écrivent, à ceux qui les éditent, à ceux qui les diffusent à leur manière, qu’ils soient libraires, bibliothécaires, journalistes, blogueurs ou lecteurs!
Bien évidemment que la lectrice de Jules Daisay porte du rouge aujourd’hui, surtout pour accueillir Maurane en cette journée, une Maurane folle du rouge, une Maurane inspirée par le rouge, une Maurane inspirante dont pourraient sûrement vous parler mieux que moi Chantal, Armando et Jean-Marc, son éclairagiste. Une Maurane que vous pouvez aussi retrouver ici.
C’est Claire Martin qui a fait que j’aime lire des nouvelles, que j’aime en écrire. Qui, sans le savoir, m’a fait entrer dans ce petite monde des nouvelliers (ou nouvellistes), si bien que j’appartiens depuis plusieurs aux années au collectif d’une revue littéraire consacrée à ce genre. Inspiratrice est-elle aussi pour qui voit venir la vieillesse, alors qu’à 94 ans, elle vient de faire paraître un nouveau livre.
Pour quelques repères, c’est ici.
*toile de Hashuury Zhongnai
Il faut l’avoir entendue interpréter Chopin comme on peut le faire en allant ici pour comprendre l’incommensurable talent de Martha Argerich, qui sera toujours pour moi l’une des plus grandes pianistes au monde. Même si la Bruxelloise d’adoption a toujours détesté la publicité qu’on a faite autour de son nom. Pour plus, c’est là.
*toile d’Élisabeth-Louise Vigée-Lebrun
Je n’écrirais probablement pas si je n’avais pas croisé un jour Monique Bosco, si elle ne m’avait pas poussée au delà de la facilité, plus loin que les mots qui se posent sur le papier. Elle a été, elle est et elle sera toujours celle qui m’a le plus appris. Pour un peu plus sur elle, c’est ici. Dans mes mots à moi, c’est par là.
*toile de Richard Lance Russell