Ce que mots vous inspirent 2896
Laisser vagabonder son esprit et lui laisser faire un temps ce qu’il souhaite, pour mieux se ressourcer c’est si simple, que parfois c’est trop compliqué. (Eva Baldaras)
*toile de Zechariah Choi
Laisser vagabonder son esprit et lui laisser faire un temps ce qu’il souhaite, pour mieux se ressourcer c’est si simple, que parfois c’est trop compliqué. (Eva Baldaras)
*toile de Zechariah Choi
Quand je pense à John le Carré, c’est à Odette, une amie de ma mère à qui je pense immédiatement, car c’était son écrivain préféré il y a trente ans. L’était-il toujours ces derniers temps?
*toile de Carole Spandau
Le monde des dictionnaires prit un autre visage avec l’arrivée du Petit Robert en 1967. Alain Rey ne fut pas le seul à s’embarquer dans cette aventure, mais il fut sûrement le plus connu.
*illustration de Francisco Fonseca
Qui ne connait pas Quino, le papa de Malfalda?
*toile de Robin Cheers
Nul ne peut contester l’importance du travail et de l’acharnement de Gisèle Halimi, que je ne connaissais pas avent de travailler en librairie. Elle a inspiré des femmes comme des hommes, et fait partie de celles et ceux qui ont donné ses lettres de noblesse au mot féminisme.
*toile de John Farnsworth
Albert Memmi fut sans conteste l’un des intellectuels les plus importants des soixante dernières années. Bien que je ne l’aie toujours pas lu, je revois les visages de certains de ses lecteurs assidus en évoquant son nom. C’est curieux, la mémoire.
*toile de Lennart Jirlow
Quand j’étais libraire, c’est-à-dire jusqu’en janvier 2006, je vendais pratiquement chaque semaine un exemplaire du roman qui avait rendu célèbre Luis Sepúlveda, Le vieux qui lisait des romans d’amour. Je me demande si ce livre se vent toujours autant. Il faudra que je m’informe.
*toile de Leonard Mizerek
Pour ce dernier En vos mots de l’année, je vous propose une illustration signée Friederike Ablang, qui ressemble beaucoup à comment j’aimerais passer les prochains jours. Du moins en partie. Car d’autres activités sont prévues. À l’extérieur, bien évidemment, et en respectant les deux mètres d’éloignement physique, il va sans dire.
À vous maintenant de vous glisser dans cette scène livresque, et de la raconter à votre façon d’ici dimanche prochain. En effet, comme aucun commentaire ne sera validé d’ici là, pourquoi ne pas lire les textes déposés pour animer la scène livresque de dimanche dernier avant de vous précipiter sut l’illustration du jour?
C’est avec plaisir que nous vous lirons dimanche prochain.
D’ici là, bon dernier dimanche de l’année et rendez-vous en 2021 pour la suite!
Albert Uderzo a-t-il vraiment besoin d’être présenté?
*illustration de Vincent Desjardins
Je n’ai lu qu’un livre d’Édouard Limonov, et je n’ai pas du tout suivi sa carrière et la polémique soulevée par l’homme, l’écrivain et ses livres. Je sais seulement que son œuvre est importante et que j’avais beaucoup aimé Journal de son serviteur que m’avait suggéré mon amie Stéphane, alors chroniqueur au Devoir.
*toile de Rorik Smith