Les vers d’Odelin 8
Vole
On ne veille pas le mistral
l’amour est un souffle de splendeur parmi les siècles.
Le jour tremble au milieu de ses assises
soutenues par la solitude.
Laisse les ailes ouvertes
et sans résister
plane au-dessus de ta raison
plonge dans ma vie.
Tes rêves sont fêlures du souvenir
sur le soir instigateur des frémissements du temps.
Odelin Salmeron, L’alphabet des étoiles
*choix de la lectrice d’Arlene Ladell Hayes