Quelques jours avec Pierre M. 3
Pour endurer l’horrible poids
Qui menace chacun de nos pas
Sur ce domaine où es chances prolifèrent,
Il suffit parfois de boire un peu de poésie
Et de plonger ses yeux dans l’épaisseur du matin.
Pas nécessaire de saisir la clé des champs
Ni de s’amincir en de vertes espérances.
La mer qui nous convie est une mer de feu.
Pierre Morency, Amouraska
*choix de la lectrice signée Heidi Berger
Je suis sous le charme du poème et du tableau, vraiment.
Me voilà partie à la recherche de Pierre Morency que je ne connais pas…Merci!
Comment by colo — 11 octobre 2012 @ 13:24