La clé sur la porte 10
Une note n’a pas de patrie. Une mélodie n’est que la clé qui ouvre la porte des songes, en tous dialectes. (René Bazin)
*toile de l’artiste écossaise Gina Wright
24 juillet 2011
4 commentaires »
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Moi que j’ai été un grand virtuose à la voix de velours à une époque, je suis bien placé pour cautionner vos dire M. Bazin.
Certes la nouvelle génération ne connait rien de moi, mais faut savoir qu’on m’appelait à cette époque Pépé la Foudre, tellement les filles tombaient comme des fraises mûres de l’arbre à rêveries, bouche ouverte, à attendre le salut de mes lèvres pour ressusciter à la vie.
Comment by Pépé Zinzin — 24 juillet 2011 @ 9:49
Quel menteur ce Pépé Zinzin. Des fraises mûres qui tombent des arbres… bof… même Lou s’est rendu compte de l’arnaque.
Comment by Mémé — 24 juillet 2011 @ 9:50
Tais-toi Mémé… la jalousie t’a vidé de tous tes rêves et te rend sceptique. Dommage pour toi. J’t’avais trouvé un vieux marin qui avait envie de faire une dernière croisière sur un vieux navire, avant son dernier soupir.
Comment by Pépé Zinzin — 24 juillet 2011 @ 9:55
Pépé Zinzin, c’était un mûrier platane, donc pas des fraises mûres, et surtout pas des filles, mais des mûres tout simplement… Faut vraiment changer de lunettes. Cependant, je peux avoir les coordonnées du vieux marin ? Je n’ai jamais fait de croisière…
Comment by LOU — 24 juillet 2011 @ 11:52