Le bonheur de l’apprentissage
Y a-t-il plus grand émerveillement que celui des balbutiements de jeunes lecteurs? Y a-t-il plus grand bonheur que ces premières phrases qu’on arrive à écrire d’une écriture un peu brouillon? Pour les lecteurs d’Eugène Carrière, je ne crois pas.
Ils sont dans le bonheur de l’apprentissage. Dans le bonheur de la découverte. Dans le bonheur des mots.
Ils découvriront bien petit à petit tout ce que cela signifie.
Apprendre …
À lire, à écrire, à compter
Ouvrir les portes encore fermées
Sur ce savoir accumulé
Qu’on lui en donne un jour la clé
Il a le monde à sa portée…
Lire… Apprendre à lire entre les lignes
Découvrir la magie des signes
Et les trésors inépuisables
Qu’on emporte dans son cartable
Pour cet enfant à son pupitre
Tirer la langue sur le titre
Écrire son nom sur son cahier
C’est plonger vers sa liberté.
Extrait de chanson d’Yves Duteil
Comment by Denise — 11 février 2008 @ 9:39