allongée dans ton imaginaire
je vivais allongée dans ton imaginaire
n’imaginant pas que nos peaux
un jour se feraient chair
dans un même écho
il a suffi d’un regard
pour que je me montre sans fard
(avril 2010)
*toile de Stanislaw Szczepanski
Et pourtant je vous jure que je ne louchais pas avant de vous voir…
La nudité vous va si bien. Je trouve.
Comment by Fou à Lier — 10 avril 2010 @ 13:22