Un peu de romantisme 4
Elle se laissait aller au bercement des mélodies et se sentait elle-même vibrer de tout son être comme si les archets des violons se fussent promenés sur ses nerfs. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Frans Smeers
Elle se laissait aller au bercement des mélodies et se sentait elle-même vibrer de tout son être comme si les archets des violons se fussent promenés sur ses nerfs. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Frans Smeers
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Ces deux lectrices me donnent envie d’être à leur place…Comme c’est beau !
Comment by Denise — 12 juillet 2009 @ 10:29
Tiens Denise qui se voit double. Il ne te suffirait pas d’être à la place d’une seule?
Comment by Armando — 12 juillet 2009 @ 10:57
Non Armando, juste à côté d’elles…en se serrant un peu ! Il y aurait même de la place pour toi devant nous, à l’ombre et tu nous raconterais des histoires !
Comment by Denise — 12 juillet 2009 @ 14:36