Lali

21 mars 2009

Tableaux poétiques 2

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

crane-walter-1.jpg

Elle n’a même pas pris la peine de s’asseoir. La lectrice de Walter Crane avait trop hâte d’ouvrir Cheveu-de-Vénus de Louise de gonzague Pelletier. Et d’y trouver ceci :

Nous savons trop
avec notre peau
comprendre les mots,
les certitudes.
Fragiles, sens dessus-dessous.

2 commentaires »

  1. Oh que oui !!!

    Comment by chantal — 22 mars 2009 @ 6:12

  2. C’est la sensibilité à fleur de peau !

    Comment by Denise — 22 mars 2009 @ 11:45

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire