En vos mots 628
Mes recherches se sont avérées vaines, je ne peux donc pas vous fournir le nom de l’artiste chinois à qui l’on doit cette jolie illustration qui, encore une fois, m’est parvenue sous forme de carte postale. Je vous l’offre donc afin que vous la racontiez en vos mots, comme vous le faites si bien depuis douze ans – depuis le 15 avril 2007, très exactement.
Comme aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ous avez donc plus que le temps d’écrire quelques lignes afin de faire vivre cette jeune lectrice, et de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier.
D’ici là, de joyeuses Pâques et bonne semaine à tous!
Quelle meilleure compagnie pour lire
Que celle de gentils animaux?
Même s’ils ne peuvent rien nous dire,
Ils nous soulagent de nos maux.
Quelle meilleure compagnie pour vivre,
Que celle de Rouquin ou Noiraud?
Ils nous disent autant que les livres,
Et même bien plus que les mots.
La compagnie animale
Nous conduit sur les verts sentiers
Où tout est beau, sans aucun mal,
Dans un élan primesautier.
Je veux toujours leur compagnie,
Chiens, chats, renards ou écureuils.
Ils savent embellir ma vie
Quand je rêve, couchée sur les feuilles.
Comment by anémone — 25 avril 2019 @ 13:01
Elle serrait de ses mains ce petit coeur, son petit coeur, qui battait si fort, si fort.
Tababoum, tababoum, tchoutchou. Ce battement dans les tempes, ce battement dans sa poitrine lui rappelait le rythme de la vieille locomotive du petit train jaune de La Tour de Carole.
Ah combien, elle aimait, alors, s’étendre dans le petit champ en pente, fleuri et herbeux. Les papillons volaient, les cricris criquetaient, les sauterelles sautaient. Le ciel était si bleu, et le soleil si chaud.
Il suffit de fermer les yeux et attendre, attendre que la locomotive se calme, que le papillon bleu vienne lui déposer un baiser sur ses paupières closes.
Là-bas, il y a tant de coquelicots et de pâquerettes.
Comment by LOU — 27 avril 2019 @ 17:52
On rêve si souvent
De lendemains heureux
D’un prince charmant
D’un bonheur à deux
On chante les troubadours
Avec des mots d’affection
Pour la douceur des jours
En toute saison
On pleure, on soupire
Un chagrin d’amour
C’est la vie couleur pire
Avec le grand vide autour
Puis on regarde l’avenir
Avec nos yeux d’enfant
Et pour ne jamais périr
On rêve si souvent
Comment by Armando — 28 avril 2019 @ 4:44