Lali

J’aime les cartes postales. J’aime les cartes postales. J’aime les cartes postales.

Déjà le dernier jour de juillet. Le mois a décidément filé à toute vitesse. Est-ce la même chose pour vous et pour la lectrice imaginée par l’illustrateur finlandais Timo Mänttäri?

C’est ce que nous saurons dimanche prochain, au moment de la validation des commentaires reçus d’ici là, et pas avant. Vous avez donc amplement le temps de participer à ce nouvel En vos mots et de lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier.

D’ici là, bon début d’août et bonne semaine!

Si le jeu comportait plus de Z, si les noms propres étaient acceptés et si on avait plus de sept lettres à placer, on pourrait sûrement faire beaucoup de points avec les noms de certains villages d’Alsace. Une carte qui m’a beaucoup amusée, envoyée par mon amie Sabine.

Grâce à une carte postale envoyée d’Helsinki par Kati, découvrir le travail de l’artiste Ilia Linaev. Joie.

C’est une photo imprimée sur du carton rigide, au départ. Une photo qui a plus d’un siècle et qui est devenue une carte postale. Ryan, qui me l’a envoyée, me propose d’imaginer la vie des gens qui habitaient cette maison.

Je joue donc le jeu. Je vois un piano dans la grande pièce où se réunit la famille. Et puis j’entends chanter petits et grands. Personne ne pense à demain. C’est dimanche.

On voudrait que ce soit tous les jours dimanche.

Une photo prise à Venise en 1965 par le photographe Eliott Erwitt.

Ça fait rêver… N’est-ce pas le propre de certaines cartes postales?

Un joli motif folk, une carte postale faisant partie d’une série de dix. J’espère que je les recevrai toutes petit à petit!

Avant de recevoir cette carte postale, je n’avais jamais entendu parler de Thomas Baxter, peintre sur porcelaine, aquarelliste et illustrateur. Une autre belle découverte, non?

Une autre semaine se termine, une semaine qui a été pour la plupart d’entre nous chaude, sinon caniculaire. Est-ce cette chaleur accablante qui a étreint la lectrice peinte par Daniela Werneck au point qu’elle s’endorme, épuisée? Est-ce l’ennui? Autre chose?

À vous de nous raconter, en vos mots, ce que cette scène évoque. En vers, en prose, comme vous en avez envie. Les commentaires seront validés dimanche prochain, comme le veut l’habitude.

Cela vous laisse donc amplement le temps d’examiner cette toile sous toutes les coutures avant de vous mettre à écrire et de lire les textes déposés sur la toile de dimanche dernier.

D »ici là, bon dimanche et bonne semaine!