Lali

L’humilité s’oppose à la modestie en ce qu’on ne la mesure pas et qu’il n’est pas question qu’elle soit un avantage. (Pierre Vadeboncoeur)

*toile de Mathias Miles Williams

J’adore les cartes instructives. Celle-ci en est un bel exemple!

L’existence humaine est aussi belle et fragile que les battements d’ailes d’un papillon. (Véronique d’Anthonay)

*toile de Newell Convers Wyeth

C’est de Moscou que m’est arrivée cette étonnante illustration sans titre signée Ira Grashinova. J’ai choisi de l’appeler La tricoteuse. Auriez-vous d’autres idées?

Même après les nuits les plus noires, le jour finit par se lever. (Arto Paasilinna)

*illustration de Paolo Domeniconi

La fillette pose devant la Maison des Sorcières de Salem, dans le Massachusetts, prête à enfiler son costume qui comprend bien évidemment un balai et un chapeau. Mais connaissez-vous l’histoire de Salem?

Donner sa chance à la joie, c’est trouver les lieux, les temps et les gens avec qui elle peut naître, mais aussi la reconnaître au milieu du reste. Alors, il est possible de la nourrir, de l’entretenir, de la faire grandir et de la partager. (Éric de Kermel)

*illustration de Mariolina Suglia

Ceux et celles qui fréquentent le pays de Lali depuis un moment connaissent mon amour pour le parc Molson, qui a été la vedette de quelques billets. Un endroit qui rappellera des souvenirs à Anémone et à Anne, et qui a inspiré Diane de l’atelier Coquelicot, à toutes les saisons.

Tout finit par passer: les bonheurs, les matins chagrins, la douleur et les soirées d’espoir. Tout, absolument tout: les bonnes nouvelles, la peur, les sourires, le repos, les erreurs et les éclats de rire. Alors, pourquoi regretter que tout s’efface puisque, au bout du chemin, on ne pourra rien emporter? Tout finit par passer. (Bruno Combes)

*toile d’Alfonso Cunado

Épernay et coupes de champagne. Flûte de champagne.

*photos de Michel Jolyot