Souvenir de la papeterie 9

Feuilles mortes de l’automne, toile d’Antoine Dumas.
Menaud regarda longtemps sa montagne, une toile de Claude Le Sauteur.
Déjà la mi-septembre! Une fois encore, le temps a filé… Et nous voici à nouveau dimanche, jour de l’accrochage d’une nouvelle toile au pays de Lali.
C’est sur une scène peinte par l’artiste victorienne et féministe Henrietta Raeque mon choix s’est arrêté, en espérant qu’elle vous inspirera. Mais , comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous laisse le temps d’écrire quelques lignes et de lire les poèmes déposés sur la toile de dimanche dernier.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!
Au loin, le monde avait beau baratter ses révolutions et ses guerres, son bruit ne parvenait pas à percer tant de feuilles et d’épais silences, une toile de Stanley Cosgrove.
Je suis comme un oiseau qui s’est posé sur l’imprévu et trémousse de l’aile pour se fixer dans l’équilibre, une toile de Jean-Paul Riopelle.
J’ai eu l’occasion, le dernier jour de mes vacances, de m’arrêter à la Papeterie Saint-Gilles, à Saint-Joseph-de-la-Rive, et d’y trouver une série de neuf cartes postales mettant en vedette la papeterie elle-même, comme cette toile intitulée À l’atelier signée Antoine Dumas, de même que d’autres, inspirées par le roman Menaud maître-draveur de Félix-Antoine Savard, fondateur de la papeterie ou par le décor de Saint-Joseph-de-la-Rive. Des toiles que j’ai eu envie de partager avec vous. Tout simplement.