Lali

Le temps ne s’enfuit que si on lui court après. (René Barjavel)

*toile de Mahaut Carpentier

Faites ou ne faites pas, mais dans la vérité. (René Barjavel)

*illustration de Jonathan Burton

Le bonheur de l’amour est plus difficile à garder que le vent dans les doigts. (René Barjavel)

*toile de Françoise Brazeau Ferguson

Pendant mon séjour à Québec, j’ai eu l’occasion de voir la très belle exposition que le Musée national des beaux-arts de Québec consacre à Berthe Morisot. Cette toile mettant en scène sa sœur Edma, qui fut longtemps son modèle, fait partie de cette exposition, d’où l’idée de vous l’offrir aujourd’hui afin que vous la racontiez en vos mots.

Aucun texte ne sera validé avant dimanche prochain, comme le veut l’habitude. Vous avez donc plus que le temps de lire les textes déposés sur la scène livresque de la semaine dernière avant de vous laisser guider par votre inspiration.

D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!

C’est l’œil qui fait la lumière. (René Barjavel)

*toile de George Henry Boughton

Le naturel est miraculeux. (René Barjavel)

*toile de Fernando Botero

Comment puis-je croire ce que je ne comprends pas? (René Barjavel)

*toile de Nikolaï Bogdanov-Belsky

Parce que j’ai passé mes deux semaines de vacances en compagnie de mon amie Anne, qui habite la Drôme, j’ai choisi de partager avec vous des citations de René Barjavel en ce dimanche, étant donné qu’il est l’un des écrivains les plus connus originaires de ce département, avec Madame de Sévigné. Et comme nous avons eu dans l’ensemble du beau temps, même si parfois il a fait un peu trop chaud à nôtre goût, nous avons passé le plus clair de nos vacances dehors à sillonner les rues de Montréal et de Québec, si bien que les lecteurs et lectrices du jour liront eux aussi à l’extérieur, notamment cette lectrice peinte par Elizabeth Bogard, qui a choisi cette citation pour vous :
On se sait jamais rien. Sauf ce qui est sans importance.

les nuages
on dirait de la fourrure blanche
sur la pleine lune

Lyne Richard, Tout ce blanc près de l’œil

*choix de la lectrice d’Albert Bertalan

Je n’ai passé qu’une journée à Paris. Je n’ai donc pas vu de près le palais et le parc Longchamp que m’invite à découvrir Lou.
Retourner à Marseille s’impose. Pour ceci et pour le Mucem. Entre autres.