On conçoit généralement les voyages comme un déplacement dans l’espace. C’est peu. Un voyage s’inscrit simultanément dans l’espace, dans le temps, et dans la hiérarchie sociale. (Claude Lévi-Strauss)
*toile de Victoria Heryet
Ainsi le progrès n’est jamais que le maximum de progrès dans un sens prédéterminé par le goût de chacun. (Claude Lévi-Strauss)
*toile signée Henry Hensche
La fin d’une civilisation, le début d’une autre, la soudaine découverte par notre monde que, peut-être, il commence à devenir trop petit pour les hommes qui l’habitent… (Claude Lévi-Strauss)
*toile de Jean Hélion
À quelques heures de l’Halloween, j’ai pensé qu’il serait peut-être amusant de faire vivre en vos mots cette illustration de Joe Cepeda qui, sans être lugubre, pourrait n’être pas tout à fait rassurante.
Elle est donc à vous pour une semaine, car aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain.
D’Ici, une joyeuse fête d’Halloween et une bonne semaine à tous!
Le hasard existe sans doute, mais ne donne par lui-même aucun résultat. (Claude Lévi-Strauss)
*toile de Richard Morrell Staig
Aucune société n’est foncièrement bonne; mais aucune n’est absolument mauvaise. (Claude Lévi-Strauss)
*toile de Michael Steirnagle
Ce qui empêche l’homme d’accéder au bonheur ne relève pas de sa nature, mais des artifices de la civilisation. (Claude Lévi-Strauss)
*toile d’Andrew Stevovich
Le 30 octobre 2009 s’éteignait l’anthropologue Claude Lévi-Strauss, natif de Bruxelles, laissant derrière lui de quoi nous faire réfléchir longtemps, particulièrement à l’heure de bouleversements de toutes sortes sur la planète. L’occasion était belle de publier une édition spéciale du journal de Lali afin de donner à réfléchir à ses lecteurs et lectrices, en commençant par celle-ci, peinte par Irit Bourla, pour laquelle j’ai choisi cette citation :
Chaque histoire s’accompagne d’un nombre indéterminé d’anti-histoires dont chacune est complémentaire des autres.
l’équilibre est fragile
entre ce monde nouveau
dont j’ignore les contours
et le chagrin de ceux
qui ne voient que folie
dans mon geste
si mon élan se brise
il faudra que je porte
mon regard
plus loin que mes yeux
Flavia Garcia, Partir ou mourir un peu plus loin
*choix de la lectrice d’Isaac Soyer
Je ne sais pas de quand date cette carte postale qui fait partie d’une série appelée Paris… en flânant. Je sais seulement que j’ai tout de suite aimé cette scène qui m’a ramenée des années en arrière et à mon premier voyage à Paris. Y ai-je alors croisé l’ancêtre des bouquinistes du quai de la Tournelle qu’on voit ici ou pas? J’aime à penser que oui.