Lali

12 septembre 2014

La 2CV jaune

Filed under: Ailleurs,Vos traces — Lali @ 16:15

Photographiée par Lou à Sainte-Eulalie-d’Olt, cette 2CV a maintenant sa place au pays de l’amoureuse des dodoches, alias Lali.

Les tulipes du jardin d’Anne

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Tulipes - Anne

Jolie surprise que la carte envoyée par Anne. Ces tulipes photographiées par son mari sont celles de son jardin, ce qui rend la carte encore plus belle et plus précieuse.

Ce que mots vous inspirent 1270

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

KOEPPEL (Matthias)

Nos projets échouent parce qu’ils n’ont pas de but. Celui qui ignore vers quel port il se dirige ne trouve jamais de vent favorable. (Sénèque)

*illustration de Matthias Koeppel

11 septembre 2014

Les grands dimanches 3

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

SOULACROIX (Charles) - 4

Je marchais seul contre mon ombre
cherchant l’adresse de ta paume

sans savoir
que je dormais déjà
sous ton ongle

Marcel Olscamp, Les grands dimanches

*choix de Charles Soulacroix

Au pays des nuages

Filed under: À livres ouverts,Pour petites mains — Lali @ 21:13

au pays des nuages

Et si là-haut dans le ciel, là où se trament les orages, là où volent les avions, là où les arcs-en-ciel se profilent, là d’où vient la pluie, dans ce pays qui s’appelle le pays des nuages il y avait un royaume fabuleux? C’est ce que nos propose John Burningham avec cet album.

Au pays des nuages, en effet, raconte les aventures d’un jeune garçon tombé malencontreusement d’une falaise, mais ayant heureusement atterri dans ce pays où les enfants sont roi et font la pluie et le beau temps. Une sorte de clin d’œil à tout ce qui vient du ciel, avec des illustrations/collages qui ajoutent au côté ludique du livre.

Une histoire sans prétention que vous pouvez aussi regarder et entendre grâce à ce lien.

Un air d’été

Filed under: Couleurs et textures,Les trouvailles de Lali — Lali @ 17:14

ROBERTS (Myra) - 5

Epson

Epson

ROBERTS (Myra) - 2

ROBERTS (Myra) - 1

ROBERTS (Myra) - 7

ROBERTS (Myra) - 8

Epson

Un air d’été… Voilà en quelque sorte ce que proposent ces quelques scènes livresques peintes par l’artiste Myra Roberts, adepte des années 1940, qui constituera le sujet de sa prochaine exposition en janvier 2015.
Ça donne envie de partir pour Fort Myers, non?

Le lac Khövsgöl

Filed under: La carte postale du jour — Lali @ 12:00

Lac Khovsgo, (Mongolie) - photo de Pavel Filatov

Le lac Khövsgöl est le lac le plus profond de Mongolie. Je l’ai appris grâce à ce paysage invitant envoyé par Ekaterina.

Ce que mots vous inspirent 1269

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

KOESTER (Alexander Max)

La patience est la compagne de la sagesse. (Saint Augustin d’Hippone)

*toile d’Alexander Max Koester

10 septembre 2014

Les grands dimanches 2

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Amants perdus

Ils vont
marchant contre leur cœur
cherchant l’épaule
qui reprendra leur main

Ils veulent
serrer contre leur corps
la paume d’une étoile
le rouge de la nuit

Mails il faut
écraser nos regards
sous l’ongle de la lune
sous l’ombre de leur lit

Marcel Olscamp, Les grands dimanches

*choix de la lectrice de Tom Reisz

Le cartable à musique

Filed under: À livres ouverts — Lali @ 20:03

cartable

Quand j’ai terminé la lecture du roman de Claudie Pernusch intitulé Le cartable à musique, je me suis demandée comment j’avais fait pour tenir le coup jusqu’à la fin tant ce roman qui raconte le coup de foudre vécu par le narrateur est insipide et sans intérêt.

Est-ce parce que j’ai cru avec naïveté que les choses s’amélioreraient au fil des pages? Probablement. Mais ce n’est hélas pas le cas. Le cartable à musique est à peu près ce que j’ai lu de plus mauvais depuis longtemps. Rien ne tient debout et le narrateur est antipathique. De plus, on ne comprend rien à cet engouement qu’il éprouve, pas plus qu’on arrive à saisir ce qui pousse l’énigmatique pianiste à se livrer au jeu de son élève. Curiosité? Véritable passion? Je n’en ai aucune idée.

Le livre fermé, je n’arrive toujours pas à comprendre les intentions de l’auteure, à savoir dans quelle sorte d’histoire elle a voulu nous embarquer ni même si histoire il y a. Et pourtant, le quatrième de couverture annonçait « une comédie de mœurs très contemporaine sur l’adultère » qui laissait présager autre chose que ce roman mièvre et bâclé.

« Page précédentePage suivante »