Un dimanche avec Schumann 3
Pour les personnages du peintre Sidney Harold Meteyard, Fantasiestücke, Op. 12 Aufschwung, dans une interprétation de Stanislav Bunin.
Pour les personnages du peintre Sidney Harold Meteyard, Fantasiestücke, Op. 12 Aufschwung, dans une interprétation de Stanislav Bunin.
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
« Oct | ||||||
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Schumann. Voilà un brave gars qui, malgré le fait qu’il a écrit d’énormes tubes pour Beethoven, Mozart et Brahms, n’a jamais eu l’occasion d’enregistrer un album solo. On dit de lui qu’il a été le premier « nègre » de la musique et que sa musique n’a jamais connu de blancs. Beaucoup de titres posthumes qu’on croyait perdus dans les catacombes d’une maison d’édition musicale ont été repris par Claude François et par Mike Brandt. Seule sa timidité maladive l’a empêché de réclamer des droits d’auteur. Aux dernières nouvelles il aurait écrit Le 9 mai qui a connu un tel succès qu’il est devenu un jour férié.
Pour tout dire, la musique ne fait que nous surprendre chaque jour. Et l’heure n’a pas d’importance.
Comment by Pépé de Séville — 29 juillet 2012 @ 8:52