Susie Arioli, tout bon
Elle a si bien attiré l’attention de Ray Charles lors de son premier grand spectacle au Festival de jazz de Montréal en 1998 qu’il a invité Susie Arioli (et son « band ») à faire la première partie du sien. Depuis, le succès n’a pas cessé d’accompagner la Montréalaise, récompensée à plusieurs reprises. Ce qui ne lui a pas enlevé un iota de sa fraîcheur, laquelle teinte son plus récent album, Night Lights, paru en 2008 duquel j’ai tiré It’s You and No One. Avec difficulté, je l’avoue. Il n’y a que du bon sur cet album.
cette dame est un bonheur à elle seule, je ne m’en lasse pas grâce à toi
Comment by Dominique — 4 juin 2010 @ 3:35
Merci Lali pour ce beau moment de joie! Susie Arioli a un timbre de voix que j’aime infiniment.
Comment by Denise — 4 juin 2010 @ 7:00
Alors comme ça, Dominique aime le jazz… et moi que je m’étais dit qu’elle était plutôt fado.
La dame qui chante je la connais bien, que trop bien. Ses disques bien sûr… vous alliez déjà penser quoi?… sachez que je suis un homme fidèle à toutes mes maîtresses…
Comment by Armando — 4 juin 2010 @ 21:13
Une très belle découverte, j’adore! Et je dis tout comme Dominique 😉
Comment by Chantal — 5 juin 2010 @ 5:38
Je fais toujours de si belles découvertes avec vous … heu … je veux dire entre Lali, Armando et JC … j’ai de quoi régaler mes « écouteuses » comme dirait l’homme du bleu 😀
Merci pour ce beau moment
Comment by Chris — 5 juin 2010 @ 8:13