Sur les traces de Pessoa 4
Elles vont, elles viennent. Elles ouvrent Poèmes païens de Fernando Pessoa puis elles repartent. Comme la lectrice de Jean-Baptiste-Jules Trayer. Qui a laissé le livre ouvert sur ces mots :
Vis sans heures. Tout ce qui mesure lèse,
Or tout ce que tu penses mesure.
Dans une certaine cohésion fluide, tel le fleuve
Dont les vagues sont lui-même,
Ainsi sois tes propres jours, et si tu te vois
Comme un autre passe, tais-toi.