Sous le signe de la gentillesse 6
La gentillesse enfante l’estime. (Mafouz Hacène)
*illustration de Franz Gruss
La gentillesse enfante l’estime. (Mafouz Hacène)
*illustration de Franz Gruss
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
« Oct | ||||||
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Quel bonheur de rencontrer Adalbert Stifter, évoqué par cette illustration!
J’ai eu tant de plaisir à découvrir cet auteur allemand en lisant « Les deux sœurs ». Il fait partie des romans dont je n’ai nulle connaissance, mais qui, sur les étagères des librairies ou des bibliothèques, parfois, m’ « appellent ». Qu’elle est peu importante, la surface de leurs dos! Qu’elle est incalculablement diffuse et vaste, la dimension créée par leurs pages ainsi assemblées!
L’illustration parle du « Sentier forestier » ; c’est « L’arrière-saison » qui semble être le livre le plus lu de cet écrivain.
Au beau détour des chemins du net aussi.
Merci,Lali!
Comment by Muriel-Cécile — 25 février 2020 @ 18:20