Seule à seul
Cette envie depuis certains mots. Tellement forte. Envahissante. De rester là. Seule à seul. Avec lui pour tout compagnon plutôt que leur blabla. Plutôt que leurs remarques. Plutôt que. Plutôt qu’eux. Plutôt qu’elle. En particulier.
Et la vie qui se charge de tout. Non sans douleur. Si le cœur a mal, l’œil davantage. Les gouttes aux trois heures viendront à bout de la douleur de l’un d’ici quelques jours. L’autre apprendra à se fermer. Comme une huître.
*toile d’Edgar Fernhout
Et pourquoi le silence, hurler de douleur ou de chagrin cela fait du bien ! Avec ou sans modération, peu importe… Puis après, alors, le retour au silence ou au calme. Bises.
Comment by LOU — 14 octobre 2011 @ 7:20