Quelques vers de Goethe 9
La lectrice de Félix Vallotton n’a pas voulu enlever son chapeau, ni prendre ses aises. Juste retrouver ce poème de Goethe dont elle ne se rappelait que la question qui l’ouvre. Celui-ci, pour tout vous dire :
Mesure du temps
Éros, comment te vois-je ici? Dans chaque main tu tiens un sablier!
Dieu volage, comment! Tu évalues le temps avec double mesure?
« Lentement, pour les êtres chers qui sont au loin, coulent de l’un les heures,
Pour ceux qui sont présents, le sable su second hâtivement s’épanche. »
Je viens prendre mon petit bain de Goethe, Eros Dieu volage, ça lui va très bien
Comment by Dominique — 7 février 2010 @ 10:46