Quand Anne-Sophie Mutter s’amuse
Le critique musical britannique Edward Greenfield avait affirmé, lors de la sortie de l’album Carmen-Fantasie en 1999, qu’il avait « rarement eu l’occasion d’entendre Anne-Sophie Mutter jouer avec autant de liberté et de chaleur » que dans cet album qui met à l’honneur les compositeurs Gabriel Fauré, Maurice Ravel, Giuseppe Tartini, Jules Massenet, Henryk Wieniawski et Pablo De Sarasate, ce dernier six fois plutôt qu’une.
Et parce que cet album m’a séduite et qu’il est le parfait antidote pour les journées grises qui s’annoncent à mesure que nous avançons vers l’hiver, il me vient l’envie de vous offrir Tzigane de Maurice Ravel où Anne-Sophie Mutter, accompagnée de l’Orchestre philharmonique de Vienne dirigé par James Levine, est tout simplement brillante.
Un grand merci Lali pour l’écoute de « Anne-Sophie Mutter. » C’était mon chef en 1990 qui m’avait parlé d’elle et un jour, il m’a dit: cette petite ira loin…
Depuis, j’ai acheté des CD et c’est toujours un régal de l’écouter jouer. Ce morceau est superbe.
Bisous 😉
Comment by Denise — 15 novembre 2011 @ 15:19