Presque pareils
Ils sont si pareils, tellements pareils. Ils réagissent de même manière face à l’injustice ou à la bêtise, s’inquiètent pour ceux qu’ils aiment et se sentent tristes si l’autre est blessé. Pareils, si pareils que l’humeur de l’un est l’humeur de l’autre.
Tellement pareils qu’il dit parfois « nous sommes siamois ».
Mais elle sait bien, la lectrice de John Everett Millais, que quand il est inquiet, fatigué, frustré ou chagriné, qu’elle ne pourra, alors que lui sait si bien le faire, tourner la situation autrement et lui tirer un sourire.
Encore une fois s’y applique-t-elle. Mais les quelques maximes humoristiques n’ont pas l’effet escompté. Peut-être la prochaine?