Près de la fenêtre
Elle s’est assise près de la fenêtre, a posé le livre sur la table. Et la lectrice de William Worcester Churchill s’est laissée caresser par la lumière. Rien d’autre. Elle n’avait pas besoin de mots ou d’autres choses. Juste de cette lumière sur son visage, sur son cou, sur ses mains. Quelques minutes. Comme pour ainsi saluer cette journée qui commençait, qui allait être heureuse. Que ça, heureuse.
Il y a des moments où on aimerait être lumière
Bisous
Comment by Jean-Claude — 6 décembre 2007 @ 9:13
Parfois, il faut vraiment peu de chose pour commencer une belle journée. Une douce clarté du matin, quelques rayons de soleil qui se posent çà et là et aussi là où cela lui fait le plus de bien. La lectrice regarde au travers de la fenêtre et laisse ainsi vagabonder son esprit. Elle est sereine parce que heureuse. Il y a des matins comme cela et il faut en profiter !
Comment by Denise Rossetti — 6 décembre 2007 @ 9:15
C’est dans la douce lumière matinale que se dévoilent souvent les promesses de la journée.
Comment by Armando — 7 décembre 2007 @ 1:36