Personne ne sait…
La lectrice de Vittorio Carpaccio a glissé le minuscule livre sous ses vêtements. Personne ne sait qu’elle le possède, encore moins qu’elle se délecte des mots – osés pour la plupart – qu’on y trouve. Personne ne sait que c’est elle qui a inspiré à l’auteur cette passion. Et je n’en dirai rien…
Et personne ne sait que le curé s’est fabriqué mille et une choses qui ressemblent à une longue -vue pour l’épier du haut de sa tour, lorsqu’elle lit …..
Comment by cath — 17 mai 2008 @ 2:39