Pères écrivains 4
Avec un patronyme comme Billetdoux, ils étaient destinés à écrire, autant François le père que Raphaëlle, la fille, qui a écrit dans Madame, ma fille cadette ces mots à propos de celui-ci : « Mon père est encore un papa : c’est-à-dire il me protège. »
*toile de Vasily Surikov
Il vaut mieux s’appeler Billetdoux que Monsieur Rature. Surtout quand on est écrivain et qu’on veut être pris au sérieux.
Comment by Armando — 21 juin 2009 @ 9:12