Parce que j’aime Gershwin
Ceux et celles qui me connaissent un peu savent que j’aime plus que beaucoup Gershwin et même que je l’aime d’un amour déraisonnable. Mais n’ayez crainte, ce n’est pas contagieux. Enfin, je ne crois pas. Mais il n’est pas dit que quand vous aurez entendu le pianiste canadien originaire de Vancouver Ian Parker, récipiendaire de nombreux prix depuis 2001 et à qui le Conseil des arts du Canada a remis la bourse d’études Sylva Gelber alors qu’il était étudiant à la Juilliard School, dans le premier mouvement du Concerto pour piano en fa, vous ne deviendrez pas vous non plus des inconditionnels de Gershwin.
Sans plus tarder, Ian Parker :