Nuit de bonheur
Elle s’est installée confortablement et va probablement passer la nuit à lire bien adossée à son oreiller, la lampe de chevet éclairant les pages. Elle appelle cela le privilège de ne pas avoir à se lever tôt le samedi.
Il m’arrive de faire comme la lectrice de Jeff Webb, d’enfiler mon pull de laine de laine rouge et de me mettre au lit avec un bouquin jusqu’à ce que le livre soit terminé ou que le sommeil me gagne. J’appelle cela des nuits de bonheur. Sûrement que cette lectrice aussi.