Mais pour tout de suite, je rêve
Le livre est fermé et je suis assise là, à rêver, comme dans la toile de Philippe Schulte. À regarder dehors, à me dire que c’est férié, à penser que je vais aller manger à midi dans un de mes endroits préférés. J’attends le café. Un oiseau fait la cour à un autre, son chant est entré dans le bureau.
J’ouvrirai le livre tout à l’heure. Il me racontera des pays et des personnages. Mais pour tout de suite, je rêve. Chut!
Peut-être que l’oiseau te racontera ceci :
Autant d’oiseaux au monde
Autant de lettres d’amour
Que le facteur apporte
Et glisse sous les portes
C’est le courrier du coeur
Le courrier du bonheur.
(Charles Trenet)
Comment by Denise — 1 juillet 2008 @ 7:51